NXGN 2024: Les 50 meilleurs jeunes prodiges

Mesut Özil devient monsieur muscles, Ronaldo impressionné

Olivier Dacourt n'en peut plus de Kylian Mbappé

Code promo Betclic "BCGOAL" mai 2024 : 100€ de bonus offerts sur le sport

10 films sur le football à voir au moins une fois dans sa vie

Ca commence : Mbappé a déjà contacté Vinicius

Arsenal champion d’Angleterre ? Thierry Henry balance

Comment Xabi Alonso a transformé "Neverkusen" en "Neverlusen"

Alphonso Davies, c'est terminé 

Barça, Xavi provoque la crise dans le vestiaire

Ballon d'Or Rankings: Vinicius prend la tête mais Foden revient dans la course

L’annonce forte d’Ethan Mbappé sur son avenir 

Metz - Paris SG, toutes les infos pratiques

Les plus lus

Quelle saison a été celle de la Super League féminine. La course au titre et la lutte contre la relégation se sont déroulées jusqu'à la dernière journée, ce qui a permis de clore en beauté une campagne déjà passionnante. Au final, c'est Chelsea qui a régné en maître pour la quatrième année consécutive, tandis que Reading a mis fin à huit années de présence dans la division.Entre le haut et le bas de l'échelle, les histoires ne manquent pas non plus : Manchester United a décroché sa première Ligue des champions féminine, aux dépens de son rival Manchester City, tandis que plusieurs clubs situés au milieu du peloton ont attiré l'attention pour de bonnes et de mauvaises raisons.Alors, qui sont les gagnants et les perdants de la saison 2022-23 de la WSL ? GOAL y jette un coup d'œil...<script type="application/json" data-placement="fcplayer-semantic">{"type":"fcplayer-semantic","data":{"embedCode":"//cdn.fcp.codes/embed-code-template/embed-code-template.js#SEMANTIC_08620186-97c8-4231-b8ff-f0eb160cbf0d"}}</script>

Rachel Daly, Emma Hayes et les gagnantes et perdantes de la Super League féminine de la saison 2022-23

Une nouvelle année, un nouveau titre pour Chelsea et Emma Hayes. Les Blues ont remporté le championnat pour la quatrième fois consécutive, battant ainsi leur propre record de trois victoires d'affilée depuis le début de la WSL.La saison a pourtant été difficile pour Hayes et son équipe. Les blessures de Fran Kirby et de Pernille Harder ont considérablement limité leur attaque, obligeant des joueuses plus inexpérimentées à monter en puissance et l'implacable Sam Kerr à adopter un rôle différent.Comme si cela ne suffisait pas, Chelsea a également perdu Millie Bright et Kadeisha Buchanan, ses deux défenseurs centraux de premier choix, pour une période mouvementée comprenant non seulement des matches de championnat à gagner, mais aussi une demi-finale de Ligue des champions contre Barcelone et la finale de la Coupe d'Angleterre.Si l'on ajoute à cela la compétitivité toujours croissante de la WSL, en particulier entre les équipes de tête, ce titre était très difficile à remporter. Hayes mérite d'être félicitée pour avoir mené son équipe à la victoire, tout comme ses joueuses, qui ont fait preuve d'une grande détermination en cours de route.

WINNER: Emma Hayes

Après un séjour de huit ans dans l'élite, Reading a été relégué lors de la dernière journée. Les Royals ont longtemps été l'une des histoires de la WSL, terminant à seulement deux places et six points de la Ligue des champions en 2017-18 malgré le fait qu'ils n'étaient pas liés à un club disposant d'une énorme puissance financière.Le travail effectué par la manager Kelly Chambers au sein du club a été vraiment formidable. En effet, son nom est l'un des premiers que les clubs de la WSL qui recherchent de nouveaux entraîneurs cet été devraient considérer au début de l'intersaison.Malheureusement, elle n'a pas pu faire grand-chose pour éviter cette rétrogradation. Les blessures de joueuses clés - notamment la rupture du tendon d'Achille dont la médaillée d'or olympique Deanne Rose a été victime le week-end d'ouverture - les erreurs individuelles et les décisions qui n'ont pas été prises dans le bon sens ont permis à Reading de terminer au bas de l'échelle cette année.Seront-elles de retour ? L'avenir nous le dira.

LOSER: Reading

Il est difficile d'exagérer la qualité du travail d'Aston Villa sur le marché des transferts cette saison. L'été dernier, le club a recruté de manière très impressionnante. Rachel Daly a été la recrue de la saison, remportant le Soulier d'or de la WSL après avoir marqué 22 buts en 22 matches, égalant ainsi le record de Vivianne Miedema lors de la campagne 2018-19.Kenza Dali, derrière elle au milieu de terrain, et Kirsty Hanson, sur l'aile, ont contribué à un grand nombre de buts en plus, tout en fournissant d'excellents services à l'internationale anglaise. Dan Turner, quant à lui, est arrivé d'Everton en tant qu'arrière gauche et, après un changement de position intelligent mais nécessaire, il a été l'un des meilleurs défenseurs centraux du championnat cette année.Comme si cela ne suffisait pas - et ce n'est pas tout - Villa a poursuivi sur sa lancée en janvier, en recrutant deux Lionnes, Jordan Nobbs et Lucy Staniforth. Le duo de milieu de terrain, avec Staniforth qui joue parfois le rôle d'arrière latéral, a eu un impact immédiat pour aider le club à terminer à la cinquième place et à se préparer à ce qui sera certainement une autre saison exceptionnelle l'année prochaine.Mais avant cela, il est probable que le club nous surprenne à nouveau lors du mercato estival.

WINNER: Les recruteurs d'Aston Villa

Les progrès considérables réalisés par Manchester United cette saison ont rendu la concurrence pour les trois places européennes plus forte que jamais, l'un des trois clubs Chelsea, Arsenal ou Manchester City risquant soudain de ne pas être retenu. Malheureusement pour ces derniers, c'est eux qui ont échoué. Pour ne rien arranger, City a également terminé la saison sans trophée. Ils sont tombés dès le premier obstacle en Ligue des champions, n'atteignant même pas le deuxième tour de qualification, ont été éliminés par Aston Villa en quart de finale de la FA Cup et se sont inclinés face à Arsenal en demi-finale de la Continental Cup.C'est donc une saison ratée pour ce club incroyablement ambitieux. City ayant chuté lors des tours de qualification de la Ligue des champions au cours des deux dernières saisons, certains des joueurs qui suscitent l'intérêt d'autres clubs pourraient songer à leur avenir.L'entraîneur Gareth Taylor devrait se voir offrir une prolongation d'un an de son contrat, qui devrait expirer cet été, et la pression qui pèsera sur lui pour qu'il réalise une bien meilleure campagne sera énorme.

LOSER: Manchester City

La décision de Rachel Daly de rejoindre Aston Villa l'été dernier n'aurait pu être meilleure pour sa carrière. La joueuse de 31 ans s'est épanouie dans les Midlands, inscrivant 22 buts en 22 matches, remportant le Soulier d'or de la WSL et menant son équipe à une impressionnante cinquième place. Elle semble incroyablement heureuse au club, ce que ses performances démontrent clairement.Daly a l'occasion de montrer à quel point elle peut être une excellente numéro 9, ce qui pourrait avoir un impact considérable sur sa carrière internationale. Elle est de loin l'attaquante la plus en forme de l'Angleterre avant la Coupe du monde féminine 2023, puisque Alessia Russo, l'actuelle première option, n'a inscrit que 10 buts en championnat avec Manchester United cette saison.Daly a longtemps été une joueuse utilitaire pour les Lionnes, ayant débuté tous les matches de l'Euro 2022 en tant qu'arrière gauche, mais elle pourrait bien s'imposer dans le onze de Sarina Wiegman en tant qu'avant-centre.

WINNER: Rachel Daly

West Ham a impressionné durant la première moitié de la saison, occupant la cinquième place au moment où la WSL s'arrête pour la trêve hivernale, juste derrière les grosses cylindrées : Manchester United, Arsenal, Chelsea et Man City.Mais lorsque la campagne a repris à la mi-janvier, l'équipe de Paul Konchesky a semblé s'effondrer. Ce n'est que l'avant-dernier week-end de la saison, avec une victoire 2-1 sur l'avant-dernier Leicester, que les Hammers ont enregistré leur première victoire en championnat en 2023, après 10 matches sans victoire.Début mai, après une décevante défaite 1-0 contre Brighton, Kate Longhurst, pilier de West Ham, s'est exprimée sur les réseaux sociaux pour partager ses impressions sur cette série. "J'ai joué et consacré près de 30 ans de ma vie au football. Et jamais dans toute ma carrière je ne me suis sentie aussi peu confiante et détruite qu'en ce moment", a-t-elle écrit. "Il faut que quelque chose change, que cette confiance revienne et nous espérons pouvoir le faire bientôt.Ce changement est intervenu à la fin de la saison. Le lendemain de la grande finale, West Ham a annoncé que Konchesky avait quitté le club. Les Hammers sont désormais à la recherche d'un troisième manager différent en trois saisons.

LOSER: Paul Konchesky

Ils n'ont finalement pas remporté le titre, battus par Chelsea lors de la dernière journée, mais ce n'était pas l'objectif de Manchester United au début de la saison. L'objectif était d'accéder à la Ligue des champions, ce qu'ils ont fait de manière convaincante, en réalisant des progrès remarquables en cours de route.Il y a beaucoup de choses à applaudir dans cette campagne, mais le changement de mentalité a peut-être été le facteur le plus impressionnant de cette réussite. Il a contribué à la régularité de la forme contre les équipes inférieures au classement, ainsi qu'aux victoires contre les équipes voisines. Cette année, United a fait le doublé contre Arsenal et a battu Man City pour la première fois en WSL. Obtenir ces résultats contre d'autres prétendants au titre est un grand pas en avant.À l'aube de leur première saison en Europe, Marc Skinner et son équipe ont posé des fondations fantastiques sur lesquelles s'appuyer. Maintenant, c'est exactement de cela qu'il s'agit, avec une plus grande profondeur d'effectif nécessaire s'ils veulent être une force sur plusieurs fronts à l'avenir, alors que leur calendrier semble devenir plus exigeant.

WINNER: Manchester United

L'équipe médicale d'Arsenal a-t-elle dû travailler plus dur cette année que celle de la WSL ? Les blessures dont les Gunners ont souffert tout au long de cette campagne n'ont jamais cessé, le plus inquiétant étant qu'elles ont perdu quatre joueuses à cause de ruptures du ligament croisé antérieur (LCA) : Beth Mead, Vivianne Miedema, Leah Williamson et Laura Wienroither.Arsenal n'en est pas à son premier coup d'essai en matière de blessures. Sous le règne de Joe Montemurro, les absences des joueuses suscitaient des interrogations constantes et la nécessité d'un examen interne, tant l'ampleur du problème était grande. Malheureusement, il semble que ce soit à nouveau le cas.Dans une récente interview accordée au média néerlandais AD, Miedema s'est alarmé de la situation en faisant des commentaires très tranchés. "À Arsenal, nous devons rester en forme avec deux physiothérapeutes pour un effectif complet de plus de 20 joueurs", a-t-elle déclaré. "Comment cela peut-il bien se passer ?Cette situation a placé le club sous les feux de la rampe, mais pas seulement. Il y a une crise du LCA dans l'ensemble du football féminin et il faut faire plus pour y remédier.

LOSER: Le staff médical d'Arsenal

La saison dernière, Everton a connu une campagne aussi chaotique et mouvementée que possible. Alors qu'il ambitionnait de disputer la Ligue des champions, le club a limogé deux de ses dirigeants et a finalement terminé à l'avant-dernière place du classement. Mais une bonne chose est arrivée avant la fin de la saison : l'annonce de la nomination de Brian Sorensen à la tête de l'équipe pour 2022-23.Le Danois est arrivé avec une excellente réputation et a rapidement commencé à mettre en œuvre ses idées intéressantes et divertissantes sur le football, ce qui a permis à Everton de remporter trois victoires lors de ses cinq premiers matches. Il y a parfois eu des baisses de forme et de lourdes défaites face à de grandes équipes, mais Sorensen s'est révélé être une excellente recrue, menant le club à une solide sixième place.Sous sa direction, Everton n'a pas flirté une seule fois avec la relégation, il a montré de sérieux signes d'espoir et a bénéficié d'une stabilité bien nécessaire qui peut maintenant être renforcée par une bonne fenêtre de transfert.

WINNER: Everton

À plusieurs reprises cette saison, il a semblé que les Spurs allaient être relégués. Un destin ironique pour un club dont le propriétaire, Daniel Levy, aurait exprimé son souhait de voir la WSL devenir une ligue fermée.Heureusement pour le club du nord de Londres, il a réussi à recruter une excellente joueuse en janvier, Bethany England, qui a inscrit 12 buts en 12 matches de championnat pour l'aider à se mettre à l'abri.Mais un club comme les Spurs ne devrait pas se réjouir de cette situation. Il y a beaucoup de talent dans cette équipe et, même s'il y a des domaines qui peuvent être renforcés, ils devraient être beaucoup plus réguliers et plus haut dans le classement qu'ils ne l'ont été cette saison, plutôt que d'être dans le tableau de la relégation.Après avoir licencié Rehanne Skinner en mars, le club sera à la recherche d'un nouvel entraîneur cet été. Il sera impératif de trouver la bonne personne et d'investir dans l'équipe si l'on veut que le club continue sur sa lancée.

LOSER: Tottenham

Lorsque Willie Kirk a pris les rênes de Leicester en novembre, l'équipe avait perdu chacun de ses neuf premiers matches de la saison WSL. C'était un travail énorme et, pour être honnête, une situation dont il ne pouvait pas vraiment sortir indemne. Peu de gens donnaient aux Foxes une chance de rester en haut de l'affiche, même à ce stade précoce de la saison.Pourtant, l'ancien entraîneur d'Everton a fait des merveilles dans une situation incroyablement désespérée. Les cinq recrutements effectués en janvier ont tous été couronnés de succès, Kirk ayant particulièrement bien géré le marché des prêts, ce qui a permis à Leicester de remporter son premier match de championnat au milieu du mois.Soudain, le club a repris espoir, et cet espoir n'a fait que croître depuis qu'il a brisé son mutisme. Deux victoires consécutives à la fin du mois d'avril ont permis aux Foxes de sortir de la zone de relégation pour la première fois, avant qu'ils n'assurent leur sécurité lors de la dernière journée.Ce que Kirk a fait est sans aucun doute le travail le plus remarquable de la WSL cette saison.

WINNER: Willie Kirk

Rachel Daly, Emma Hayes et les gagnantes et perdantes de la Super League féminine de la saison 2022-23 | Goal.com Français

Chelsea a de nouveau été couronné champion de la Women&apos;s Super League, tandis que Reading a été relégué, mais il y a eu beaucoup d&apos;autres histoires autour de la première division anglaise en 2022-23.

À ne pas rater