Eric Roy BrestGetty

Brest, les mots surprenants d’Eric Roy sur le PSG

Dauphin du Paris Saint-Germain (1er, 69pts) pendant plusieurs semaines, le Stade Brestois (3e, 53pts) a été devancé par l’AS Monaco (2e, 58pts) il y a une semaine. Mais le club breton reste toujours dans la course pour la Ligue des Champions et va profiter du derby contre le Stade Rennais dimanche pour engranger des points. C’est d’ailleurs lors de la conférence de presse en marge de cette rencontre qu’Eric Roy a eu quelques mots à l’endroit du PSG.

Eric Roy sous le charme de Luis Enrique

Comme bien souvent ces dernières saisons, le Paris Saint-Germain a encore survolé la Ligue 1 cette saison. A quatre journées de la fin du championnat, le club parisien compte 11 points d’avance sur son nouveau dauphin, Monaco, et peut même être sacré champion dès ce samedi en cas de victoire contre Le Havre. Une semaine après avoir été dépossédé de la deuxième place avec Brest, Eric Roy reconnait la suprématie du PSG sur la Ligue 1.

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Luis Enrique PSG 2023-24Getty Images

« C’est la meilleure équipe du championnat, et elle le prouve année après année (...) Qui peut dire que ce n’est pas un beau champion ? », affirme le technicien français avant de vouer son admiration pour l’entraineur parisien, Luis Enrique. « Je le considère comme un grand entraîneur, qui entraîne une équipe magnifique avec des talents », poursuit Eric Roy.

Eric Roy prend la défense du PSG face aux critiques sur le budget

A l’instar des précédentes saisons, le PSG est encore critiqué sur le plan budgétaire. Le club francilien est notamment accusé de déséquilibrer le championnat en injectant plus d’argent que les autres écuries de Ligue 1. Entraineur de l’une des rares équipes à avoir faire trembler le PSG cette saison (une défaite 3-2 et un nul 2-2 avec Brest), Eric Roy estime que ce n’est pas la faute du club parisien si les autres formations ne sont pas au niveau.

« Certains font la fine bouche car ils trouvent que le championnat est trop déséquilibré (...) Mais ce n’est pas la faute du PSG, c’est celle des autres. C’est aussi de notre faute, on a laissé en route des points qui ne nous permettent pas de pouvoir rivaliser maintenant », lâche le coach de Brest.

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